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Selon les résultats d’une enquête publiés par la FAGE (Fédération des Associations Générales Etudiantes), une nette augmentation du coût de la vie étudiante a été constatée pour l’année universitaire qui va s’annoncer. Tout comme les parents, les étudiants vont donc devoir se serrer la ceinture.
Le passage vers l’année 2013 n’a pas été facile pour un grand nombre d’étudiants en France. En effet, la cotisation pour la Sécu est passée à 211 euros (contre 207 euros en 2012) et pour une complémentaire santé, il débourse à peu près de 275 euros. Bref, les étudiants ont été frappés par une hausse de 9,3 % entre 2012 et 2013. Pour cette nouvelle année universitaire, la constatation des observateurs a permis de classifier en deux catégories les étudiants en France.
En effet, les 5 % des étudiants qui sont détenteurs de bourse auront la chance de voir la diminution du cours de leurs études grâce aux aides octroyées par l’État. Près de 75 % des étudiants français (les non-boursiers) vont, par contre, devoir se serrer la ceinture, car en moyenne, ils devront débourser mensuellement près de 240 euros pour les dépenses courantes, y compris les frais de santé. À tenir seulement compte des frais de restos, des cotisations versées à la caisse de l’Assurance maladie ainsi que le logement, les étudiants vont avoir la vie dure pour l’année 2013-2014.
Avec les crises qui vont et viennent autour de la zone euro et les autres problèmes financiers affectant l’Europe, quoi de plus normal que de voir le coût de la vie augmenter de jour en jour. Et logiquement, la vie étudiante en France n’a pas été épargnée par cette hausse. Certains économistes préconisent qu’un étudiant souhaitant réduire ses dépenses aura plus intérêt à demeurer au sein du domicile familial s’il souhaite poursuivre avec sérénité ses études. Cette solution traite, d’un point de vue globalisé, le problème financier rencontré par l’étudiant mais s’il s’agit de cerner particulièrement les dépenses de santé d’un étudiant, rien ne remplace une bonne mutuelle étudiante. Déjà choisis par près de 70 % d’étudiants, une telle mutuelle avec ces formules variées va permettre au étudiant de bénéficier des remboursements digestes de ses frais de santé (optique, dentaire, hospitalisation, etc.). De plus, elle ne va pas lui coûter que quelques euros de plus. Ici, réduire les dépenses ne revient pas à se priver d’une mutuelle étudiante, mais à chercher la mutuelle qui propose à ses adhérents une réelle mutuelle étudiante pas chère.
Certes, les données statistiques concernant la hausse de l’accès aux soins ne sont pas du tout en faveur des étudiants. Mais ce n’est pas une raison pour que les étudiants se privent de mutuelle. Il y a toujours une mutuelle pas chère qui répond aux besoins de l’étudiant et pour cela, recourir à internet est d’une grande aide.
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