La 7ème édition d’une enquête nationale réalisée par l’Union nationale des mutuelles étudiantes régionales (Usem) révèle que les étudiants ne sont pas très assidus en matière de contraception et de dépistage. Explications en chiffres.
Zéro pointé en termes de contraception
Une nouvelle enquête dévoile que le fait d’entrer dans la vie étudiante avait un impact plutôt négatif sur l’utilisation des contraceptifs.
Dans le détail, le préservatif semble être privilégié lors du premier rapport sexuel (9 jeunes sur 10) mais une fois lancés dans la vie étudiante, les jeunes ne sont plus aussi assidus car l’étude fait état de 68 % des étudiants qui continuent de garder le réflexe de la contraception. Les garçons seraient d’ailleurs encore moins assidus que les filles.
Et le suivi gynécologique, c’est pour quand ?
Le président de l’Union nationale des mutuelles étudiantes, Cédric Chevalier a bien sa petite idée pour enfin permettre aux jeunes femmes de bénéficier d'
un suivi gynécologique personnalisé entièrement pris en charge par l’Assurance Maladie. Objectif :
« garantir une bonne observance de la contraception et limiter les échecs contraceptifs »